Popsychomane, c’est le journal intime d’un accro à la pop. Pas la pop lisse et formatée : la pop
vivante, excessive, faite de fractures et de refrains qui collent au cœur.

13 titres, pour un album-concept en forme de voyage émotionnel, où cohabitent le clinquant et le sensible, le drôle et le drame, l’intime et l’universel.

De la légèreté ironique (“Disco Blues”) aux élans obsessionnels (“Créature”, “Je crois que je pense à toi”), des balbutiements de l’amour (“Toi tu me plais”, “Je t’aime Jérome”) aux séparations déchirantes (“Demain j’arrête”, “Se quitter quand on s’aime”), chaque morceau explore une des facettes de nos contradictions, sur fond de nostalgie positive (“C’est moi le chat”, “Popsychomane”), et de besoin vital de
transmettre (“Tes petits pas”) à l’occasion d’un final instrumental épique.

Derrière ce projet, Julo Bocher explore une facette intime de lui-même, longtemps gardée secrète. Popsychomane, c’est son double, son héros intérieur. Une version fantasmée, libérée… qui ose la tendresse, l’excès, la vulnérabilité, la fête, les mots qui dérangent autant qu’ils apaisent. Dans une société où il serait plus facile de se faire discret, Julo choisit de reprendre la parole – celle qui lui avait trop longtemps échappée.